Contraception couvert par la Loi sur les soins abordables

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Soins préventifs gratuits – l’un des avantages essentiels pour la santé de l’ACA – est parmi les dispositions les plus populaires de la Loi sur les soins abordables. Les assurés de tous les régimes conformes à l’ACA n’ont rien à payer pour une longue liste de services préventifs qui s’appliquent aux femmes, aux enfants et à tous les adultes.

La gratuité des soins préventifs s’applique à la plupart des régimes de santé aux États-Unis, et a été adoptée avant la majeure partie des dispositions de l’ACA en 2014.

La provision s’applique aux régimes individuels ainsi qu’aux régimes de petits et de grands groupes. Les régimes de santé avec droits acquis sont exemptés de l’obligation de couvrir les soins préventifs sans partage des coûts (les régimes d’antériorité sont ceux qui étaient déjà en vigueur au 23 mars 2010 lorsque l’ACA a été promulguée). En 2014, environ un quart des travailleurs bénéficiant d’un régime parrainé par l’employeur bénéficiaient d’une couverture par droits acquis, mais la prévalence des régimes d’antériorité a régulièrement diminué depuis 2010.

Contraceptifs – Qu’est-ce qui est couvert gratuitement?

Le HHS a adopté une liste de soins préventifs spécifiques aux femmes qui sont entrés en vigueur pour tous les nouveaux régimes et les renouvellements sans droits acquis en août 2012. Il comprend une couverture contraceptive sans partage des coûts. Mais cela ne signifie pas que toutes les options de contrôle des naissances disponibles seront fournies gratuitement par votre assureur santé.

HHS a précisé que les plans de santé doivent couvrir au moins une version de toutes les méthodes contraceptives féminines approuvées par la FDA, à l’exception des médicaments abortifs (les plans de santé ne sont pas obligatoires pour les contraceptifs masculins, y compris les vasectomies).

Lorsque des versions génériques d’un certain type de contraception sont disponibles, un régime de santé peut offrir le générique sans partage des coûts, mais imposer un copay si l’assuré préfère une version de marque (il faut renoncer à la copay si l’assuré le médecin détermine que l’alternative offerte gratuitement par le régime d’assurance-maladie serait médicalement inappropriée pour le patient).

Il existe actuellement 18 types différents de contraceptifs féminins approuvés par la FDA:

Chirurgie de stérilisation
implant Implant chirurgical de stérilisation
rod Canne implantable
intr Dispositif intra-utérin de cuivre I I DIU avec progestatif
Shot Injection / injection (Depo-Provera )
• Contraceptifs oraux (la pilule), avec œstrogène et progestatif
• Contraceptifs oraux avec progestatif seulement (la «mini-pilule»)
• Contraceptifs oraux à usage prolongé qui retardent la menstruation (également connu sous le nom de pilule de suppression menstruelle)
• Les patch
• Anneau contraceptif vaginal
• Diaphragme
• Eponge
• Capsule cervicale
• Préservatif féminin
• Spermicide
• Contraception d’urgence (Plan B / pilule du lendemain)
• Contraception d’urgence (Ella / Ulipristal acétate)
Votre assurance santé Le transporteur doit vous fournir au moins une option dans chacune de ces 18 catégories, sans frais supplémentaires. Pour certains types de contraception, il existe de nombreuses options disponibles, et votre compagnie d’assurance maladie peut vous imposer une copay pour la plupart d’entre elles, à condition qu’au moins une vous soit offerte gratuitement.

LARC – abordables dans le cadre de l’ACA

L’exigence selon laquelle chaque type de contraceptif doit être disponible sans partage des coûts est particulièrement importante pour les contraceptifs réversibles à action prolongée (DIU et bâtonnets implantables).

Ces options étaient souvent prohibitives en termes de coûts initiaux avant le mandat contraceptif de l’ACA (bien que pendant la durée de vie du produit, elles soient souvent moins chères que les contraceptifs oraux). Mais ils sont très efficaces et des études ont montré que les femmes les préfèrent à d’autres méthodes contraceptives lorsque le coût n’est plus un obstacle. L’utilisation de contraceptifs réversibles à longue durée d’action était déjà en augmentation en 2012, et les experts prévoient que leur utilisation augmentera davantage à la suite de l’ACA.

les défis du mandat de contraception

L’ACA a exclu les églises et les organisations religieuses sans but lucratif du mandat de contraception, mais d’autres organisations se sont élevées contre le mandat et certaines ont prévalu devant les tribunaux.

En 2014, Hobby Lobby a poursuivi pour avoir le droit d’exclure quatre types de contraceptifs (les deux DIU, avec Plan B et Ella) du plan de santé de leurs employés. La Cour suprême s’est rangée du côté de Hobby Lobby, statuant que le gouvernement doit trouver un moyen de faire en sorte que les sociétés «fermées» (comme Hobby Lobby) qui s’opposent à tout ou partie des méthodes de contrôle des naissances puissent éviter de les payer de leur plan de santé.

En juillet 2015, en réponse à la décision Burwell v. Hobby Lobby, HHS a finalisé une décision qui permet de loger «une entité à but lucratif fermée qui a une objection religieuse à fournir une couverture pour certains ou tous les services de contraception», tout en toujours en veillant à ce que les femmes aient accès à toute la gamme des contraceptifs approuvés par la FDA. Dans le cadre de l’hébergement, l’assureur-maladie (ou l’administrateur tiers dans le cas des régimes de travailleurs indépendants) assume le coût de la couverture de certains ou de tous les contraceptifs, sans frais pour la femme ou l’employeur. L’hébergement pour les entités à but lucratif proches est le même que l’hébergement que HHS avait précédemment fourni pour les organisations religieuses à but non lucratif.

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