Aucun test de l’actif pour les subventions ACA

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Les subventions de prime de la Loi sur les soins abordables (ACA) (crédits d’impôt sur les primes) n’ont aucun test de l’actif. Ni l’expansion de Medicaid sous l’ACA. Dans les deux cas, l’admissibilité est simplement fondée sur le revenu. Peu importe combien d’argent les gens ont à la banque ou au marché boursier, ou combien valent leurs maisons. L’aide disponible via Medicaid élargi ou subventions de prime dépend uniquement du revenu annuel. Expansion Expansion de Medicaid

Dans le District de Columbia et les 31 états qui ont étendu Medicaid, la couverture de Medicaid est disponible aux enrôlés avec le revenu du ménage jusqu’à 138% du niveau de pauvreté. Le plafond de revenu pour une personne célibataire est de 16 753 $ en 2018, mais à mesure que le niveau de pauvreté augmente, la limite supérieure de revenu pour l’admissibilité Medicaid augmente également (les tests actifs sont encore utilisés pour l’admissibilité Medicaid dans certaines circonstances, par exemple dans une maison de retraite payée par Medicaid).

Dans 18 des 19 autres États (sauf le Wisconsin), on estime à 2,4 millions le nombre de personnes qui se trouvent dans l’écart de couverture, sans accès réaliste à l’assurance maladie – ils ne sont pas admissibles à Medicaid et leurs revenus sont trop bas pour les subventions aux primes, qui ne dépassent pas le seuil de pauvreté.

Crédits d’impôt sur les primes (alias, subventions)

Dans les États qui n’ont pas élargi Medicaid, l’admissibilité aux primes de prime dans la bourse commence au niveau de la pauvreté et atteint jusqu’à 400% du seuil de pauvreté.

Dans les États qui ont élargi Medicaid, l’éligibilité aux primes prime commence lorsque l’éligibilité Medicaid se termine (138% du niveau de pauvreté) et s’étend jusqu’à 400% du niveau de pauvreté. Pour une famille de quatre personnes, 400% du niveau de pauvreté représente actuellement un revenu annuel de 98 400 $. Pour un ménage de deux personnes, le revenu annuel est de 64 960 $. Il est important de noter que certains demandeurs ne sont pas admissibles à des subventions, même s’ils ont un revenu inférieur à 400% du seuil de pauvreté. Cela est particulièrement vrai pour les jeunes (dont les primes sont moins élevées en raison de leur âge) et pour les personnes qui vivent dans des régions où les primes moyennes avant subvention sont relativement faibles.

Mais pour tout le monde avec un revenu jusqu’à 400% du niveau de pauvreté (sauf, malheureusement, les personnes dans le déficit de couverture Medicaid susmentionné), l’ACA garantit que le plan Argent deuxième coût le plus bas ne coûtera pas plus d’un pré -déterminé pourcentage de leur revenu. Qu’est-ce qui compte comme revenu? L’éligibilité à l’extension des subventions Medicaid et primes en vertu de l’ACA dépend du revenu brut ajusté modifié (MAGI). Et il y a un MAGI spécifique à l’ACA. Vous commencez avec votre revenu brut ajusté (AGI), qui est la ligne 37 sur le formulaire 1040 (ligne 4 sur un formulaire 1040EZ, et ligne 21 sur un formulaire 1040A).

Ensuite, il y a trois choses qui doivent être ajoutées à votre AGI afin d’obtenir votre MAGI pour déterminer la subvention et l’admissibilité à Medicaid. Si vous avez un revenu provenant de l’une de ces sources, vous devez l’ajouter à votre AGI (si vous n’avez aucun revenu provenant de ces sources, votre MAGI est simplement égal à votre AGI):

Revenu de sécurité sociale non imposable

Revenu d’intérêt exonéré d’impôt (par exemple, si vous avez des obligations municipales exonérées d’impôt fédéral)

Revenu étranger gagné et frais de logement pour les Américains vivant à l’étranger

Votre admissibilité à la subvention (et l’admissibilité Medicaid dans les 31 États qui ont étendu Medicaid) dépend de votre MAGI. Mais il n’y a pas de test de ressources.

Certains adversaires de l’ACA ont crié à la méchanceté, se plaignant que des personnes ayant des investissements de plusieurs millions de dollars puissent recevoir des subventions de prime dans la bourse. C’est vrai, bien que les revenus de placement en dehors d’un compte fiscalement avantageux (401k, IRA, HSA, etc.) comptent comme un revenu annuel. Ainsi, une personne célibataire qui ne travaille pas mais gagne 50 000 $ en gains d’investissement dans un compte imposable pendant l’année ne serait pas admissible à des subventions à la bourse (le plafond de revenu est actuellement de 48 240 $ pour une seule personne).

  • Les allégements fiscaux pour l’assurance maladie sont la norme
  • Mais il est également important de noter que les subventions aux primes de l’ACA sont simplement un crédit d’impôt. Pour les personnes qui obtiennent leur assurance maladie d’un employeur – qui est la majorité des Américains non âgés – il y a toujours eu des allégements fiscaux importants. La partie des primes payée par l’employeur constitue une compensation non imposable pour l’employé. Et la partie de la prime payée par l’employé est déduite de la paye avant impôt.
  • Il n’y a jamais eu de test d’actif – ni de test de revenu d’ailleurs – avec cet arrangement.

D’autre part, les primes d’assurance maladie individuelle ne sont entièrement déductibles fiscalement que pour les travailleurs indépendants. Les personnes qui ont acheté leur propre assurance mais qui ne travaillent pas à leur propre compte (p. Ex., Un employeur qui n’offre pas de couverture) peuvent inclure les primes d’assurance santé dans leurs dépenses médicales totales pour l’année, mais seulement pour les frais médicaux du revenu peut être déduit. Ce seuil passera à 20% en 2019. [Il était auparavant de 7,5%, mais l’ACA l’a porté à 10% en 2017. Cependant, la loi sur les réductions d’impôts et les emplois promulguée en décembre 2017 a ramené le seuil à 7,5%. Pourcentage pour 2017 et 2018.]

Maintenant que l’ACA offre des primes d’assurance à plusieurs millions de personnes avec une assurance maladie individuelle, cela équivaut essentiellement à des avantages fiscaux pour les personnes qui achètent leur propre assurance maladie et celles qui obtiennent une assurance. d’un employeur (bien que les personnes qui gagnent plus de 400% du seuil de pauvreté et achètent leur propre assurance-maladie sont toujours défavorisées sur le plan fiscal par rapport à leurs homologues qui reçoivent une assurance santé parrainée par l’employeur).

Une personne ayant un million de dollars d’épargne mais seulement 30 000 $ / an de revenu (soit un revenu de placement ou un revenu d’emploi, soit une combinaison des deux) peut bénéficier du crédit d’impôt pour primes de l’ACA. Certains opposants à l’ACA ont déploré que cela soit injuste, et que l’on profite d’une "faille" dans l’ACA.

Mais si cette même personne travaillait pour un employeur qui fournissait une assurance santé, elle recevrait une compensation non imposable sous la forme de la contribution de l’employeur aux primes, et paierait sa propre portion des primes avec des dollars avant impôt. Elle pourrait seulement payer environ 100 $ en primes chaque mois (ou rien du tout, selon la générosité de son employeur). Et pourtant, cela est rarement perçu comme une échappatoire et n’est pas perçu comme un moyen pour les riches de «tirer parti» du système.

Vu de ce point de vue, les crédits d’impôt sur les primes de l’ACA ont simplement contribué à mettre davantage l’assurance santé individuelle au même niveau que l’assurance maladie parrainée par l’employeur. Et oui, ils ont également permis aux personnes de moins de 65 ans de se lancer dans l’auto-emploi, le travail à temps partiel ou la retraite anticipée, sans avoir à craindre que les primes d’assurance-maladie épuisent toutes leurs économies avant atteindre l’âge de l’assurance-maladie.

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