L’année du VIH: les cinq premières résolutions à prendre pour 2018

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2017 a été l’année de la PrEP. Plus que tout autre développement clinique, la prophylaxie pré-exposition au VIH (PrEP) a mis en lumière la mesure dans laquelle nous pouvons non seulement traiter la maladie, mais aussi fournir aux gens l’outil de protection contre l’infection.

Ce n’est pas la seule histoire qui a fait les manchettes en 2017. Nous nous sommes vus plus proches du remplacement des thérapies trithérapiques traditionnelles par deux.

Nous sommes sur le point d’avoir des médicaments anti-VIH à action prolongée qui ne nécessitent pas plus d’un vaccin tous les un à trois mois.

En revanche, les preuves suggèrent que la résistance au médicament, le ténofovir, se développe et que les contributions aux organisations mondiales de lutte contre le VIH se réduisent à mesure que les États-Unis et les autres partenaires du G12 adoptent le nationalisme plutôt que la coopération.

Et chaque jour, nous voyons la Loi sur les soins abordables être minée et ébréchée par l’administration Trump, plaçant la santé de ceux qui vivent avec des maladies chroniques, telles que le VIH, dans l’ombre de l’incertitude.

Pour assurer que 2018 soit une année de santé continue, il y a cinq résolutions que tout le monde devrait faire:

1. Faites-vous tester aujourd’hui

Actuellement, aux États-Unis, il est recommandé que tout le monde soit âgé de 15 à 65 ans. partie de la visite d’un médecin de routine. Avec plus de 200 000 Américains encore non diagnostiqués pour la maladie, l’appel au dépistage universel n’a jamais été aussi fort.

Les options pour les tests comprennent les tests combinés de nouvelle génération du VIH approuvés par le ministère de la Santé et des Services sociaux. Ce simple test de piqûre au doigt peut effectivement réduire la période de la fenêtre d’une moyenne de quatre semaines à aussi peu que 12 jours.

Des tests rapides à domicile sont également disponibles pour ceux qui pourraient éviter les installations d’essai publiques.

Bien qu’ils soient moins précis que les tests standards sur le lieu des soins, ils peuvent fournir à la personne un plus grand sens de l’autonomie et de la confidentialité, ainsi qu’un service d’assistance téléphonique en cas de retour d’un test positif.

2. Commencer le traitement anti-VIH aujourd’hui

2017 a été l’année où de nombreuses autorités sanitaires mondiales ont renouvelé leur appel en faveur d’un dépistage et d’un traitement universels. Il ne faut plus retarder le traitement en fonction de la numération des CD4 Aujourd’hui, le traitement diagnostique assure non seulement une vie plus saine et plus longue, mais réduit considérablement le risque de transmission à un partenaire non infecté.

De plus, l’initiation précoce du traitement se traduit par une plus grande longévité chez les personnes vivant avec le VIH, l’espérance de vie étant maintenant égale à celle de la population générale.

3. Obtenez et restez indétectable

Les avantages du traitement précoce s’étendent même à ceux qui ne sont pas infectés par le VIH. En maintenant une charge virale indétectable, une personne vivant avec le VIH est jusqu’à 96% moins susceptible de transmettre le virus à un partenaire non infecté.

Commencez par vous engager dans une adhésion ininterrompue aux médicaments. Cela comprend des visites régulières chez le médecin et des tests de laboratoire ainsi que la recherche de soutien si vous avez du mal à y faire face.

Aujourd’hui, 65% seulement des Américains sous traitement anti-VIH sont capables d’atteindre des charges virales indétectables.

La conséquence de l’échec peut être énorme, conduisant à la réduction de l’espérance de vie jusqu’à 11 ans.

4. Prendre la PrEP

La PrEP est une stratégie préventive dans laquelle une dose quotidienne de Truvada peut réduire le risque de contracter le VIH de 92%. La PrEP est actuellement recommandée pour les personnes à risque élevé d’infection, y compris les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, les consommateurs de drogues injectables et les couples mixtes avec le VIH.

Bien que l’adoption de la PrEP ait été lente depuis la première publication des recommandations en 2014, l’acceptation des consommateurs a été en hausse. À la mi-2017, plus de 136 000 avaient été prescrits PrEP, selon le fabricant du médicament.

Des programmes d’aide aux co-payeurs sont offerts aux personnes admissibles, ce qui facilite grandement l’accès à la PrEP pour les personnes qui ne bénéficient pas d’un traitement d’assurance.

5. Se lier aux soins médicaux

Le VIH est une maladie chronique qui dure toute la vie et qui peut être traitée efficacement, mais qui exige une surveillance médicale constante. L’échec du traitement est en grande partie un sous-produit de soins incohérents, dans lesquels les personnes qui entrent et sortent du système ont tendance à être plus pauvres que celles qui restent constamment prises en charge.

Une étude récente a montré que 68 pour cent des personnes retenues étaient capables d’atteindre et de maintenir une charge virale indétectable contre seulement 43 pour cent de celles qui ont volontairement abandonné le système.

Les obstacles à la prise en charge du VIH sont souvent complexes, en particulier pour ceux qui n’ont pas les moyens de payer le coût élevé du traitement du VIH. Mais il existe des solutions, non seulement pour les personnes à faible revenu, mais pour toutes les personnes qui ont du mal à payer leurs médicaments ou leurs assurances.

Commencez par apprendre quels programmes d’aide vous pourriez être qualifié et explorer de nouvelles stratégies pour trouver une couverture d’assurance à faible coût quel que soit votre tranche de revenu.

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