L’incidence du diabète de type 2 dans notre pays augmente également, en corrélation avec l’augmentation de l’obésité.
L’American Diabetes Association estime qu’environ 21 millions de personnes souffrent de diabète, et que 54 millions de personnes ont reçu un diagnostic de pré-diabète. Le prédiabète est une condition dans laquelle les taux de glycémie à jeun sont élevés, mais pas encore au niveau indiqué pour le diabète de type 2.
Couper la graisse
Des études ont montré que cela peut faire une grande différence si les gens travaillent pour perdre seulement 5 à 7 pour cent de leur poids corporel. Pour beaucoup de gens, cela équivaut à environ 7 à 10 livres. Même si quelqu’un souffre déjà de diabète, perdre un poids modéré peut ralentir considérablement la progression de la maladie. La pression artérielle et le taux de cholestérol sont également bénéfiques lorsque ce faible pourcentage de poids corporel est perdu.
Ce n’est pas seulement le poids des gens, mais aussi leur poids qui les expose à un risque accru de problèmes de santé. Les personnes qui portent plus de poids autour de leur taille – une «pomme» – sont plus susceptibles de souffrir de problèmes liés à l’obésité que quelqu’un qui est «en forme de poire», ou porte plus de poids dans les hanches et les cuisses.
Obésité et résistance à l’insuline
Le diabète de type 2 est associé à la résistance à l’insuline. L’insuline est une hormone importante qui fournit du glucose (sucre) à nos cellules. Quand une personne est en surpoids, les cellules du corps deviennent moins sensibles à l’insuline qui est libérée par le pancréas. Il existe des preuves que les cellules adipeuses sont plus résistantes à l’insuline que les cellules musculaires.
Si une personne a plus de cellules graisseuses que de cellules musculaires, alors l’insuline devient globalement moins efficace, et le glucose circule dans le sang au lieu d’être absorbé dans les cellules pour être utilisé comme énergie.
Vivre en meilleure santé, vivre plus longtemps